vendredi 26 mars 2010

Initiative presse

Jeudi 18 mars 2010, la 6eme édition d’Initiative presse, une action du réseau éducatif Citéo s’est tenue dans les locaux des BTS audiovisuel et photographie du lycée Jean Rostand. Des élèves de 22 établissements de la région Lille métropole ont pu parfaire leur connaissance des différentes techniques de la diffusion des informations : Presse écrite, radio, télévision. Leur pratique du journalisme scolaire a été également mise en lumière lors d’un forum réunissant les différentes productions.

jeudi 25 mars 2010

"Cosi Fan Tutte" à l'ouvrage.

Vendredi 19 mars , les élèves de première SVT et de première S.I accompagnés de leurs enseignantes Mme Boulhaïs et Mme Roelens ont pu assister à une répétition de Cosi Van Tutte mis en scène et en voix par l'Atelier lyrique de Tourcoing. Une proposition de cette compagnie relayée par Sébastien assistant pédagogique, qui a remporté un grand succès.
- J'appréhendais un peu cette sortie, mais quand j'ai entendu les voix, j'ai trouvé ça extraordinaire. Ca m'a donné envie de chanter durant toute la route du retour.
K.N
- Cela doit demander de travailler dur pour les acteurs. il y a beaucoup de détails et entendre ces voix est assez impressionnant.
MS
- L'histoire est bien et on peut suivre même si c'est en italien. Pour le bac, cela nous permettra de commenter un travail de mise en scène.
AV

lundi 15 mars 2010

Lycéens au cinéma (3)

Lycéens au cinéma est un dispositif mis en place par la région du Nord-Pas de Calais et le CNC. Il propose aux élèves et aux apprentis des sorties pédagogiques au cinéma, au cours des quelles ils visionnent des films sur lesquelles ils travailleront en cours. Avant d’aller voir « Certains l’aiment chaud » au cinéma nous avons travaillé sur le générique du film, sur les personnages (rôles dans le film), et sur le sujet principal qui est le travestissement. Lundi 9 novembre 2009, les classes de secondes Khan, Moreno et Clark dans le cadre de lycéens au cinéma sont allées au Duplexe de Roubaix voir le film « Certains l’aiment chaud ». Après la projection du film 6 élèves de chaque classe ayant participé à la sortie au cinéma, se sont réunis dans un studio du lycée pour enregistrer une émission de radio avec les BTS Audiovisuel, et donner leurs avis sur le film. La bande son est diffusée en classe après. Par la suite nous avons fait un devoir en classe, sur ce film. Quelques réactions : Oucif Faycal : « Je n ’ai pas aimé le film car il est anglais sous titré français, j’aurais préféré qu’il soit en français. Il était également en noir et blanc. Le film est trop long ; Le travestissement n’est pas un thème qui m’intéresse. » Ricq Thomas : « J’ai aimé le film en général, mais je trouve dommage qu’il soit en version originale ». Vancoillie David : « J’ai apprécié le film, je le trouve assez comique. Certains des personnages sont très hilarants comme : Joe et Jerry et d’autres au contraire très sérieux. Ces personnages donnent donc une touche de sérieux à ce film. Le choix des acteurs est très judicieux. » Rédaction : Ricq Thomas, Oucif Faycal, Vancoillie David. 2nd Clark

vendredi 5 mars 2010

Quelques heures avec Christiane Veschambre, poètesse

Poser des mots sur une rencontre :
En 1ere Électronique autour de : Le lais de la traverse :
- « En rencontrant Christiane Veschambre, j’ai compris que j’aimais beaucoup la poésie. Ca m’avait captivée, le fait que ces textes s’inspiraient d’une histoire vraie. Mais ce que j’ai le plus aimé, c’est l’amour que Christiane Veschambre porte à sa mère, on le ressent très fort.»
Fadila M.
- « Cette rencontre est un petit plus pour nous qui passons le bac français, cette année. Christiane Veschambre nous montre comment on peut utiliser la poésie pour parler de sa vie privée et des sentiments que l’on peut éprouver. »
Sofiane S
- « Elle avait l’air très contente de venir nous voir et dialoguer avec nous. C’est une dame vraiment sympathique. »
Ertan G.
-« C’est la première fois que l’on a la chance de rencontrer une poétesse et j’aime bien la façon dont elle écrit ses livres.
Ismaïl K.
En BTS son ingénierie , acteurs de l’enregistrement de Robert et Joséphine.
- « Le silence avant de répondre.. Aller chercher au fond de soi le « second être « avec lequel on écrit et qui, lui, va donner une réponse vraie. C’est vraiment ce qui m’a le plus marqué. On ne parlait plus de poèmes, mais bien d’une personne.
Raphaël.
- « Quelques personnes dans la salle étaient gênées par le silence et regardaient à terre ou en l’air, mais vous vous saviez et nous regardiez. Les grands blancs que vous laissiez m’ont marqué. Nous devrions faire la même chose pour réfléchir et surtout dire le plus justement possible ce qu’on a envie de dire réellement comme vous le faites. Le plaisir est présent chez vous, c’est ce qui rend si agréable de vous entendre. »
Nicolas.
- « Une question m’est venue à l’esprit : je me demande si vous vous considérez comme une artiste au même titre qu’un peintre ou un sculpteur ou si votre travail qui rassemble beaucoup de votre vie, ressemble plus à celui d’un architecte ou d’un maçon qui réfléchit, brique à la main, à la manière dont il va monter son mur ? »
Jean

mardi 2 mars 2010

Labomatic

Hall Audiovisuel- Jeudi 11 mars 13h30, Présentation de la saison LABOMATIC théâtre de la rose des Vents par Anne-Sophie Buchholzer.

CHEAP CHEAP

Projection du film de Det L'F « CHEAP CHEAP » le 10 mars à 16 heures suivi d'un buffet rencontre. . Dans « Cheap Cheap » , commencé en 2005, Det L'F a conservé l' équipe d'anciens étudaints de BTS avec lesquels il avait déjà tourné un film. De nombreuses personnalités issues du milieu créatif de Lille, Paris et Bruxelles sont filmées dans des cellules avec un système type caméra de surveillance. "« 'cheap'cheap' » ou La vie des Artistes Je suis artiste. Quand je n'ai pas de travail rémunéré, l'État, c'est-à-dire le contribuable, moi-même inclus, me paye un salaire pendant ce temps de « chômage ».J'écris « chômage » entre guillemets parce que, comme pour tout artiste, mon travail ne s'arrête pas pendant ce temps-là. Je continue de travailler : dans la tête, sur papier, avec une caméra, je crée des images, par exemple. Avec d'autres artistes, d'autres créateurs d'images, de sons, de mouvements, nous nous sommes dit, quoi de mieux pour montrer que cet argent n'est pas jeté par la fenêtre que d'en faire un « FILM ».Faire un film paraît à première vue impossible avec nos moyens financiers.Mais nos richesses à nous, se trouvent-elles dans le coffre d'une banque ? N'avons-nous pas d'autres richesses à partager ? Ce projet de « FILM » a donc vu le jour, au départ avec une trentaine de participants, où chacun amenait ce qu'il avait pour participer à la création du « FILM » : une caméra, un microphone, des accessoires, mais surtout son temps et son talent. A la fin, au générique de fin, nous avons compté la participation de quatre-vingt personnes. Bien entendu, nous ne nous attendons pas à un succès commercial : le sujet et le style expérimental du « FILM » ne s'y prêtent pas vraiment. Nous avons intégré les prestations de chaque participant comme des parts de participation à la production de ce « FILM » ; comme quelqu'un qui met sa part dans un grand pot, le tout est investi, et à la fin partagé. Si le « FILM » n'a pas de succès, bien entendu, nous n'aurons pas de parachutes dorés, juste le chômage qui continue, tant que le système nous l'accorde. L'autre possibilité est d'investir l'argent gagné dans la production d'un autre « FILM », et ainsi de suite, une création finançant la suivante, avec du travail pour tous. Et nous voilà entrés, non pas dans le système, mais dans une vraie suite de CREATION.La CREATION est ainsi. Elle ne s'arrête pas.Personne n'arrête la CREATION. Ce « FILM » n'a pas comme sujet la VIE à l'intérieur de notre système.C'est un « FILM » sur la MORT de celui-ci, mais nous montrons que, malgré les systèmes qui s'écroulent autour de nous, la VIE continue, par exemple dans nos têtes. La possibilité d'un changement NAÎT dans la tête.Si nous perdons la tête, il n'y aura pas de changement.Pensez-y ! La vie, c'est du travail, bien entendu.Mais c'est aussi une FÊTE.Une FÊTE sans « FIN ».Et tout le monde est invité à cette FÊTE,même si elle sera un peu « 'cheap'cheap' ». Det L'F, Bruxelles, janvier 2009