lundi 31 janvier 2011
Rencontres autour de l'oeuvre de Claire Pollet
samedi 29 janvier 2011
Festival Premiers Plans d’Angers
31 élèves de Seconde, Première & Terminale, inscrits en option cinéma-audiovisuel et/ou enseignement d’exploration Arts visuels, ont passé la semaine du 24 janvier à Angers, à l’occasion du Festival Premiers Plans. Au programme ? Beaucoup de cinéma !... Des films de compétition (Jimmy Rivière de Teddy LUSSI-MODESTE, Philipp DE FABIAN MÖHRKE, Isolerad de LUNDBORG & STORM, Robert Mitchum est mort de BABINET & KIHN) mais aussi des rétrospectives (le burlesque, « Guerres & paix », films avec Isabelle CARRE).
… Mais pas que du cinéma ! D’autres activités culturelles sont venues compléter le programme : théâtre (Une Femme à Berlin, mis en scène par Tatiana VIALLE, au théâtre Le Quai), cinéconcert (Les Aventures du Prince Ahmed, de Lotte REINIGER, accompagné par le trio KHOURY, groupe de jazz jordanien), visite du château d’Angers, de la Galerie sonore et de l’exposition d’art contemporain « Vu – Pas vu » signée LORIOT & MELIA, au Musée des Beaux-Arts.
Une semaine riche & passionnante !
S. BOULHAÏS, professeur de cinéma-audiovisuel
mardi 25 janvier 2011
EXPOSITION « DEGAS SCULPTEUR »
La visite consistait en un parcours avec promène-carnet permettant de découvrir l’exposition de manière ludique & interactive. Il leur a été proposé de collecter, autour de l’exposition, des informations écrites ou orales qui, une fois retranscrites, prennent la forme d’un carnet d’idées, de sensations, d’images, de découvertes ou encore d’émotions…
· « Cette visite au musée était plutôt agréable. Nous avons appris beaucoup de choses sur Edgar DEGAS. Il était peintre, sculpteur, photographe. La cire était sa matière de prédilection & il se plaisait à représenter des chevaux, des femmes dans leur intimité et des danseuses. Il ne se souciait pas des détails mais des formes principales, des positions… » (Tanguy)
· « J’ai découvert le travail de ce sculpteur à partir de la cire ainsi que toutes ses études, ses esquisses au crayon, avec les différentes phases du mouvement. La plus célèbre de ses sculptures est La Petite Danseuse de 14 ans. Cette œuvre a dérangé parce que l’artiste a vêtu son personnage de tulle & de soie. C’est la seule qu’il ait exposée de son vivant ! » (Guillaume)
· « Le guide nous a présenté les œuvres & les techniques utilisées par Degas. Je trouve triste qu’il n’ait pas pu exposer de son vivant. Ses œuvres sont originales. » (Gabriel)
· « J’ai appris que Degas est devenu aveugle, c’est pourquoi il a renoncé à la peinture pour se mettre à la sculpture ! » (Youssef)
Lycéens au cinéma 2/4
samedi 15 janvier 2011
Au cinéma chilien
Mardi 11 janvier, tous les élèves de 2de hispanisants, à l'exception de quelques malades, se sont rendus au Fresnoy à Tourcoing pour découvrir le film chilien, Machuca d'Andrés Wood. Notre assistant chilien Arturo, Ibtissem, Orane, Samir assistants pédagogiques et moi même ,professeur d'espagnol,les avons accompagnés. Ce film chilien de 2004 raconte l'histoire d'une amitié entre 2 jeunes ,Gonzalo Infante et Pedro Machuca en 1973 au Chili.Ce film tiré d'une histoire vraie,évoque l'initiative d'un prêtre américain,le père Mac Enroe,qui a décidé d'intégrer dans son collège américain huppé des jeunes issus des bidon-villes. Gonzalo Infante, souffre-douleur de ses camarades va se lier d'amitié avec Pedro Machuca qui vit dans un bidon-ville. La cousine de Pedro Machuca, Silvana un peu plus âgée ,va se joindre à eux et les initier aux relations amoureuses. Ce drame chilien se déroule dans la période très agitée qui a opposé les partisans de Salvador Allende,communiste, aux partisans de la droite conservatrice.
Même si nos élèves ont été quelque peu surpris par l'accent très particulier des acteurs, et ont regretté la fin particulièrement triste,ce film leur a permis de mieux comprendre une réalité historique étudiée en classe, sans oublier certaines anecdotes qu'ils ont pris plaisir à raconter.
Le film:
Metteur en scène:Andrés Wood
Année:2004
Durée:2h
Genre:drame
Valérie Grivillers, professeure d'espagnol.
lundi 10 janvier 2011
Notre région au Moyen-Age
samedi 8 janvier 2011
Michel Séméniako : Et vice- versa
mercredi 5 janvier 2011
Michel Séméniako : impressions
Les étudiants du BTS photo ont assisté avec les autres à la conférence donnée par M. Séméniako en salle de projection (10h30-12h30). Ils ont, pour la plupart, réservé leurs questions (notamment techniques) pour l’après-midi. Tous ont apprécié la clarté, la précision et le professionnalisme du photographe dans ses propos, ainsi que le diaporama illustrant la conférence.
15h-17h : table ronde en salle Taufourt, parmi les photos de M. Séméniako. Les étudiants ont eu le loisir de poser leurs questions - sauf quand le photographe, affable, communicatif et fourmillant d’anecdotes, y répondait par anticipation. Ils ont ainsi pu obtenir des réponses précises, qu’ils consignaient bien souvent dans leurs carnets. J’ai pu, moi aussi, poser quelques questions à M. Séméniako, notamment sur sa position quant à la photo engagée, et sur sa posture d’artiste et de metteur en scène face au principe de la « photo volée ». Deux réponses justes et radicales : l’engagement est une action concrète, ce n’est pas prendre une photo ; et la photo volée reste suspecte pour lui et opposée à sa conception personnelle de l’art photographique (cf. Portraits négociés). J’ai finalement demandé au professionnel comment il jugeait les travaux des étudiants, peu habitués à ce genre de retour – question qui les démangeait. M. Séméniako a répondu avec justesse et selon un argumentaire positif, sans jamais pour autant les encenser gratuitement.
Les étudiants ont apprécié le talent, l’originalité, le professionnalisme, mais aussi la modestie de M. Semeniako, toujours attentif et accessible. Ils ont retenu, entre autres, sa définition lumineuse de la « bonne photographie » : « c’est celle où l’on identifie le point de vue de l’auteur ».
Compte-rendu de L. Schuurman
Enseignant en ECI (Esthétique et Communication de l’Image) et en CPV (Culture Photographique et Visuelle) en STS Photographie.