samedi 20 décembre 2008
Lycéens au cinéma (2)
jeudi 18 décembre 2008
John Batho, nos impressions.
Puis il y a eu l’œuvre. Photographies vivement colorées, à la construction rigoureuse, où chaque détail et chaque forme semblent être pensé. Mais aussi ces photographies qui touchent et murmurent directement des sentiments aux oreilles des spectateurs. Miroir blanc et Impers mastics suggérant un vide palpable, la mort peut-être ? Mais aussi des photos plus paisibles, telles que Nageuses d’où il ressort une paix intérieure,- position fœtale ?
L’œuvre fut ensuite accompagnée de la découverte de la vie de l’homme. S’il a été marié à une photographe qui, elle, privilégie le noir et blanc, il en demeure toujours sa volonté de « photographier la couleur ».
Enfin, il y a eu la rencontre avec l’homme. Rencontre terriblement touchante avec cette belle personne, fragile dans le fond, qui parle de sa carrière, de la photo et de la vie avec une incroyable humilité et une grande intégrité (« J’aurais pu faire du cliché alimentaire mais ça ne m’intéressait pas. ») Rencontre avec cet homme qui vient sublimer toute son œuvre et donner une autre dimension à ses clichés. Clichés où l’on met toute la technique en œuvre afin d’arriver au rendu souhaité.
« La photographie demeure pour [lui] une rencontre silencieuse, immobile, une confrontation de la pensée et de l’émotion avec la réalité. »
Emotion partagée. (Robin Guivarc’h, SON)
Pourquoi la couleur ? « La couleur est une sensation qui dépend du matériel qu’on prend : c’est un ressenti » John Batho sait formuler des questions étonnantes : « Est-ce que la photo a quelque chose à dire sur la couleur ? » La couleur, chose déterminante dans ses photographies, est un moyen pour envoyer une émotion-sensation (exemple : le rose). Il dit aussi : « ce qui compte dans le travail en couleur, c’est le rapport entre elles »
On comprend aussi pourquoi il n’y a pas de visage : dès l’instant que l’on voit un visage, on ne regarde plus que cela. Ce qu’il cherche dans l’image, c’est la sensation : on doit s’interroger dessus.
C’est un homme qui veut partager, marquer ses photos dans le temps. La photographie « buvarde » le temps et l’œuvre appartient à celui que la voit. (Amandine Lekhal, SON)
vendredi 12 décembre 2008
Lettres à John Batho. 2nd Kepler
Cinémathèque
Entretiens avec John Batho
lundi 8 décembre 2008
John Batho, c'est aujourd'hui et demain.
mardi 2 décembre 2008
Théâtre
mercredi 19 novembre 2008
exposition John Batho
samedi 15 novembre 2008
cinéma !
jeudi 13 novembre 2008
De la couleur (3) et du mouvement !
dimanche 26 octobre 2008
De la couleur ! (2)
vendredi 17 octobre 2008
De la couleur ! (1)
lundi 6 octobre 2008
L'aventure des villes
mardi 24 juin 2008
Partenariat IJA , Jean Rostand
Une journée placée sous le signe d'un "partenariat de cœur" avec l'Institut des Jeunes Aveugles de LILLE
(Centre d'Education pour Déficients Visuels)
"Les hommes sont divers en goût et en force ; il les faut mener à leur bien selon eux, et par routes diverses" MONTAIGNE (citation en exergue à la plaquette de présentation de l'IJA)
Samedi 21 juin, l'Institut des Jeunes Aveugles situé au 131 rue Royale à Lille, organisait une matinée "Portes ouvertes".
Le public a ainsi eu l'occasion de découvrir les installations et les équipements de ce petit établissement accueillant en mixité une cinquantaine de jeunes de 4 à 20 ans (Section d'Enseignement et d'Education) et une trentaine de 14 à 20 ans (Section de Première Formation Professionnelle). L'IJA propose également un Service d'Accompagnement Familial et d'Education Précoce pour les enfants de 0 à 3 ans, ainsi qu'un service d'Aide à l'Acquisition de l'Autonomie et à l'Intégration Scolaire pour les élèves de 3 à 20 ans.
C'est avec et pour ces jeunes souffrant de déficience visuelle que Bertrand Vuillerme (professeur d'audiovisuel) et Evelyne Vandeerstraeten (professeur de français) ont choisi de travailler, depuis 6 ans, dans le cadre des activités de la Bibliothèque Sonore. Une façon comme une autre de montrer l'importance des TICE (Technologies de l'Information et de la communication) dans l'approche du handicap et de responsabiliser des élèves et des étudiants à travers un exercice pédagogique. Une façon comme une autre également d'établir des passerelles entre Education traditionnelle et Education spécialisée, entre Enseignement public et Enseignement privé, entre formation initiale et formation post-bac …
Au cours de cette matinée, les jeunes de l'IJA ont proposé aux parents et aux visiteurs, une représentation théâtrale particulièrement appréciée ; ils ont également exposé certaines de leurs réalisations et participé à de multiples jeux d'adresse.
Evelyne Vandeerstraeten a donc profité de cette réunion conviviale pour remettre à l'équipe pédagogique de l'IJA les 10 exemplaires du CD "Poésie en liberté" réalisés à leur intention par la classe de 2nde Edison et les étudiants de STS son 1ère année. Outre la dégustation de gaufres (!), la rencontre avec les enseignantes (Natalie Gryspeert, Martine Fruleux et Sonia Le Mauff) et la responsable pédagogique (Marie-Christine Gonnet) a permis de poser les jalons d'une nouvelle collaboration pour l'année 2008-2009, collaboration qui devrait consacrer plus étroitement encore le partenariat entre le lycée Jean Rostand et l'Institut des Jeunes Aveugles.
A l'année prochaine donc …
Evelyne Vandeerstraeten (professeur de français)
vendredi 30 mai 2008
Remerciements à Ahmed Djebbar
La conférence intitulée « Les sciences arabes au Moyen Âge » constituait un prolongement du chapitre sur la « Méditerranée au XIIe siècle, rencontre des civilisations »
Mr Djebbar a su se mettre au niveau des élèves du lycée par l’utilisation d’images souvent originales et parlantes, mais il a surtout réussi à rendre simple et accessible des savoirs scientifiques pointus, sur une période s’étalant sur plusieurs siècles et traversant l’espace de plusieurs civilisations anciennes.
Car Mr Djebbar utilise l’histoire pour répondre aux préoccupations d’aujourd’hui, son savoir est ouvert mais jamais péremptoire : il sait reconnaître ce qui relève du fait scientifique ou de l’hypothèse de travail. Ainsi a-t-il démonté une croyance commune selon laquelle le zéro nous viendrait du monde arabe, alors que les mathématiciens de cette aire l’ont en fait emprunté aux savants indiens du moyen Âge.
De même, il n’a pas hésité à faire part de son parcours personnel, d’abord comme élève en Algérie avant de rejoindre l’université française, afin de montrer à l’auditoire que la réussite scolaire est le fruit d’un travail acharné mais surtout pas dénué de plaisir. Son message a aussi consisté à inciter les élèves de seconde à trouver leur voie personnelle, à se découvrir une passion afin de vouloir réussir à tout prix dans leur vie d’adulte en construction.
En somme, un message simple, salutaire et optimiste pour une jeunesse qui cherche logiquement sa voie ou sa vocation.
Merci Mr Djebbar de nous avoir donné une leçon de science, d’histoire et de vie !
L.Guitton, professeur d'Histoire.
vendredi 16 mai 2008
Sciences arabes
jeudi 15 mai 2008
Sortie Historique
Destinée aux deux classes de Première scientifique (SV et SI), le programme de la journée du mardi 6 mai 2008 a été le suivant :
1. Le matin : Visite du Musée La Coupole à Helfaut (9H-11H30)
En lien avec la dernière partie du programme d’histoire (« La 2e Guerre mondiale ») pour un approfondissement des connaissances (phases, guerre totale avec le projet des fusées allemandes, collaboration et résistance, génocide) et préparation au programme de Terminale (Chapitre sur la guerre froide)
2. Le midi : déjeuner/visite à Wimereux :
Etude d’une station balnéaire dans ses aspects historiques et géographiques (naissance d’une station balnéaire bourgeoise à la Belle-Epoque, fonctions économiques et organisation de l’espace)
3. L’après-midi : visite guidée en bateau de la Zone Industrialo portuaire de Dunkerque
Les activités, les réseaux et les flux en France dans le prolongement du programme annuel et en prélude à l’étude du Nord-Pas-de-Calais (chapitre final de géographie)
La journée a été ponctuée de trois questionnaires de travail permettant une évaluation de chaque élève participant.
L’équipe d’Histoire-Géographie (Mmes COMTE, GUÉVILLE, REDJEM et M GUITTON) est à l’origine de cette journée qui a bénéficié d’une météorologie très favorable.
Une initiative à réitérer à coup sûr ...
lundi 12 mai 2008
"Vivre la culture à Roubaix" ...
samedi 10 mai 2008
La bibliothèque sonore ... édition 2008
vendredi 4 avril 2008
A Valérie Rouzeau
Points de vue
« C’est bien d’avoir rencontré une vraie poétesse , car on a étudié ses textes et cela permet de mieux comprendre, de mieux entendre. » Philippe Tran. 1ere SVT
« Elle a changé mon regard sur les écrivains. J’ai vu que l’écrivain était quelqu’un qui vivait sa passion et j’ai ouvert les yeux sur le combat des poètes pour exercer leur métier.» Tracy Leman. 1ere SVT
« C’est une femme très touchante ( dans sa poésie et sa façon de parler) quand elle parlait, elle avait l’air touchée par ce qu’elle disait elle même. » Ophélie Fassiot. 1ere SVT
« On a appris des choses nouvelles, ( l’original de Pas revoir faisait 200 pages au début) et son humour apportait de la gaieté à la rencontre. » Anne-Sophie Castelain. 1ere SVT
« Le poème semblait être son histoire, son expérience, un morceau de sa vie.» Morigane Lefebvre. 1ere SVT
« Quand elle lisait, sa voix était différente. » Lucie Ligault. 1ere SVT
" Merci de répondre au courrier et de venir et d’être tout à fait là pendant quelques heures, avec nous . Etre atteint par les gens est une des belles surprises de la vie. Pouvoir le dire autant qu’il nous est possible, c’est encore mieux. Joli printemps, Valérie. " Sylvie Dupuys, documentaliste.
" Pas Revoir fut une révélation, enfin de la poésie qui sonne, qui grince qui ferraille…Enfin une possibilité de montrer que la poésie n’est pas cette chose terrible qui renvoie à un autre temps.
Merci Valérie Rouzeau d’être venue partager votre travail avec les élèves et les adultes de l’établissement, merci pour vos textes qui ont permis de trouver une nouvelle voi(e)x pour enseigner la poésie. Pourvu que l’on puisse continuer à entendre vos poèmes. " Laurence Roelens, professeur de français.
samedi 22 mars 2008
Printemps des poètes : écrire.
Avec le N :
«Une nuit de novembre
Une nonchalante naïade
Nageait nue dans le Nil.
Ni nénuphars nucléaires
Ni nuée de nubiens nuls.
Jean,
N’étant qu’un novice nota :
Tout notonecte n’étant pas
Nosophobe n’est que normal.»
A.E. Ouazani
vendredi 14 mars 2008
samedi 15 mars : journée portes ouvertes
jeudi 13 mars 2008
Lycéens au cinéma
vendredi 8 février 2008
R comme Rouzeau Remercier Rostand
« La poésie est une réponse qui interroge » disait Eugène Guillevic, c’est ainsi que moi-même je présente souvent ce qui constitue sinon ma vie du moins mon « art de vivre » aux publics qui m’accueillent. Ce lundi 4 février 2008, j’ai eu la chance d’être reçue au lycée Jean Rostand de Roubaix où j’ai rencontré le matin des jeunes gens en BTS « son et ingénierie » - plus une jeune fille s’étant ajoutée au groupe et dont je ne sais de quelle classe elle venait, une classe de terminale sans doute puisqu’on a pu évoquer ensemble quelques minutes l’épreuve du bac de français - et l’après-midi des jeunes gens en classe de première « S. V. T. » c’est-à-dire « sciences de la vie et de la terre ». J’avais reçu à l’automne une invite de la documentaliste Sylvie Dupuys, visité l’attrayant site internet du lycée et choisi de déroger pour le plaisir de l’exception à ma règle de cette année de ne pas aller à l’école, de ne pousser la porte d’aucun établissement scolaire. Je ne regrette pas. Les jeunes gens et leurs professeurs Bruno Cousin et Hélène Dubois m’ont reçue avec mes poèmes, ils m’avaient lue (ce n’est pas toujours le cas !) et se sont montrés curieux de mon travail. Un jeune homme qui m’avait un peu expliqué son futur métier à la télévision m’a même sans le savoir remonté le moral (j’ai disons quelques soucis personnels, comme tout le monde) lorsqu’il a déclaré qu’il trouvait de la « fraîcheur » à mes propos : je ne m’attendais pas à un tel éloge, je crains parfois de radoter ou de ne pas savoir communiquer aux autres la nature de mon engagement en poésie – après quoi nous avons évoqué les grandes valeurs de la poésie que sont la mémoire (avec le grand « M » de Mnémosyne, Mère des Muses, dont le nom signifie précisément « Mémoire ») et la liberté. J’ai également cité la célèbre formule de Paul Valéry, selon laquelle « la poésie est une hésitation prolongée entre le son et le sens » avant de préciser que je penche quant à moi beaucoup du côté du son, ce qui donnait plein de sens et de bon sens à notre rencontre matinale ! L’après-midi ne fut pas moins heureuse et d’emblée partage avec un tour de table souriant des lycéens, le jaillissement de leurs questions, l’approche de certains de mes poèmes et de mon « activité traduisante » comme disait Mounin (la rencontre était préparée par la professeure de Lettres, Laurence Roelens, laquelle m’avait écrit en amont, ainsi que par la professeure d’Anglais Carole Claisse). Je suis repartie ravie de cette grande journée dans le Nord, après une visite guidée dans les ateliers où les maîtres des lieux me firent don d’une plaque et d’un porte-clefs à l’effigie du lycée : un « R » comme « Respirer », comme « Rencontre » ou encore « Rouzeau Remercier Rostand ».
Valérie Rouzeau
Saint-Ouen le 6 février 2008
lundi 4 février 2008
Rencontres poétiques
vendredi 1 février 2008
Back from London
mardi 22 janvier 2008
One day trip
vendredi 18 janvier 2008
Vivre la culture à Roubaix : les 2nde EIFFEL mènent l'enquête !
Constitués en équipes de trois, les élèves ont pour mission de mieux connaître les lieux culturels de la ville et d'apprendre à les fréquenter.
En préalable, ils ont élaboré un questionnaire destiné à préparer une visite programmée pour les prochaines semaines.
Il s'agira pour eux de recueillir des informations sur le lieu choisi par chacune des équipes, dans le cadre d'une rencontre avec des responsables.
Une exposition permettra de présenter les travaux de nos apprentis reporters après leur périple vers "La condition publique", "Le conservatoire", "La piscine", "La médiathèque", "Les archives du monde du travail", "Le théâtre Louis Richard" et "Le colisée".
[à suivre]
Evelyne Vandeerstraeten (professeur de lettres)
Sylvie Dupuys (documentaliste)
jeudi 17 janvier 2008
Bibliothèque sonore
La "Bibliothèque sonore" : à la rencontre de la poésie, de la chanson et du slam.
Les 2nde EDISON reprennent le flambeau des activités de la "Bibliothèque sonore", mise en place depuis six ans.
Sous l'égide des étudiants du BTS audiovisuel (option son, 1ière année), ils vont enregistrer un CD avec les textes de chanteurs ou de poètes contemporains (Boris Vian, Jacques Brel, Georges Brassens, Abd Al Malik, Grand corps malade, Marc Favreau).
Le titre reste encore à définir mais le premier enregistrement aura lieu samedi 19 janvier, suivi d'une deuxième prise samedi 2 février.
Cette année, le CD ne s'adresse pas directement aux enfants de l'IJA (l'Institut des Jeunes Aveugles de Lille), notre partenaire de cœur, mais le projet reste centré sur l'importance de la mise en voix des textes et la sensibilisation au problème du handicap de la malvoyance.
[à suivre]
Evelyne Vandeerstraeten (professeur de lettres)
Bertrand Vuillerme (professeur d'audiovisuel)
mardi 15 janvier 2008
A Bernard Plossu
Merci Bernard Plossu d’avoir arrêté le temps et modifié ton itinéraire pour ces jeunes gens – et aussi les moins jeunes dont je fais partie. Mes étudiants d’image (cadreurs) ont été très touchés par ta délicatesse, ton attention à leur égard et ton écoute. Ils ont beaucoup apprécié la simplicité et la franchise avec laquelle tu t’es exprimé, notamment sur tes souvenirs personnels, tes débuts en photographie, tes rêves et le fait que tu n’aies pas oublié ce que tu étais à leur âge. Que tu aies vu, en eux, aussi ton fils, les a particulièrement émus : de grand photographe- fantasme d’inaccessibilité-, tu t’es incarné de manière très proche et attachante. Tu as été un ravisseur inattendu, un beau cadeau de Noël.
Merci encore et au revoir !
Françoise Pierard, professeure d’arts plastiques
Découverte de la justice
vendredi 11 janvier 2008
Et Bernard Plossu aussi, se souvient
En arrivant à Roubaix, il faisait un froid sec comme j'aime, et un soleil splendide ! Que le Nord peut être beau ! Au Lycée Jean Rostand, un tourbillon d'évènements et d'élèves très vite a pris possession des heures : c'est passionnant de voir des jeunes s ' intéresser ainsi à la photographie , car la photo permet de mieux voir, donc de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons , d'y voir des choses que normalement on ne voit pas ! La photo permet d'avoir un regard intelligent, vif, incisif. Des jeunes très, adolescents, avec une exposition remarquable de LEUR virée, pourtant sous une pluie battante, d'un voyage dans leur quartier : la photo commence là, chez soi. De très bonnes images, bravissimo à tous. Et l'idée super de faire photographier les photographes par d'autres élèves photographes aussi ! ça alors, ça m'a drôlement plu ! Excellentes images . Le lendemain, des élèves plus âgés et déjà très motivés par de futurs métiers, de cadreurs, cameramen, cinéma ou photo . Des jeunes ..... de l' âge de mes enfants ! j'avais l'impression que mes enfants étaient parmi eux ! Là, ça a été vraiment formidable pour moi, de rencontrer leur intelligence, leur curiosité, leur génération ! Aussi : coup de cœur pour des enseignants et un proviseur, vraiment motivés ! Bernard Plossu, photographe.
jeudi 10 janvier 2008
La justice dans le Nord
lundi 7 janvier 2008
Avec leurs meilleurs souvenirs
Bernard Plossu est rentré à La Ciotat, mais les élèves de la seconde Vinci ont des souvenirs :
Bernard Plossu nous a dit : "Ce n'est pas l'oeil qui prend la photo, mais le corps. Il faut se rapprocher, s'éloigner de son sujet. Pour cela, il faut avoir de bonnes chaussures et être toujours prêt. "
- J'ai appris ce qu'était réellement la photographie. Kahina Tir
- Les étudiantes de BTS nous ont bien aidés. Le développement, c'était super !
Maxime Fotinar.
Sur ce projet, j'ai senti l'esprit du voyage me venir et l'envie de voyager.
Amina Saïdi. Malgré le froid et la pluie, ce fut intéressant de faire des photographies. On cherchait des choses qui faisaient penser au voyage. Des choses que l'on voit tous les jours, sans s'en rendre compte.
Omar Khayrat.